Bon … là il ne fait pas bon être dans la peau du steak. Ce cher bœuf d’Hérens nous offre un morceau tendre à souhait. Mes couteaux se jouent de sa texture peu filandreuse et le transforme en tout petit cubes rouges. Son goût exquis sera rehaussé par une vingtaine d’ingrédients, issus d’une sélection de plusieurs années...
Enfin en 2 mots : vive le tartare !
PS. Juste un petit rappel pour ceux qui seraient passés à côté de mon petit mot dans la rubrique « critique ». Vous pouvez toujours cliquer sur « Critiques » pour prendre
connaissance